L’
assurance habitation nous amène à nouveau dans la
Belle Province pour évoquer cette fois le cas de l’assurance pour les
résidents à temps partiel. Cette expression désigne essentiellement les
travailleurs itinérants qui sont appelés plusieurs semaines loin de chez eux, rentrent pour quelques jours et repartent.
Des risques plus grands pour l’assurance logement
À cause des
absences plus ou moins prolongées de l’
assuré, le cas des résidents partiels entraîne une plus grande exposition des habitations aux
risques de vol, de vandalisme ou de dégradation.
Une telle situation impose donc de prendre quelques précautions :
• prévenir sa compagnie d’assurance pour une bonne évaluation des risques avec selon les cas une possible augmentation de la prime
• demander à une personne de confiance de venir jeter quotidiennement un petit coup d’œil pour montrer que la maison n’est pas sans surveillance (ramassage du courrier, ouvrir et fermer les rideaux,…)
• en cas de sinistre, prévenir l’assureur
L’interdiction de refuser d’assurer
Même si ce type de situation se caractérise par un
risque accru, la compagnie d’assurance n’est pas autorisé à refuser à quiconque le droit de souscrire une telle
assurance logement.
Toutefois, encore faut-il que l’intéressé réponde à tous les critères d’admissibilité comme le rappelle Julie Bellemare du Bureau d'assurance du Canada (BAC) qui ajoute : « Ça dépend de la gestion de risque. Si quelqu'un a fait 10 réclamations dans les années précédentes, ce sera plus difficile. Un agent évaluera le cas précis et référera à une compagnie d'assurances qui va estimer une protection selon les risques ».
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