Informations pratiques sur l'assurance
Face au pire, un décès ou une invalidité, comment subvenir aux besoins de sa famille ? L’assurance décès est l’un de moyens les plus efficaces pour protéger les siens contre les pertes de revenus liées à un décès ou une incapacité de travailler. Explications de l'Express.
Anticiper le pire ? Oui il le faut. Et pour avoir une idée nette de ce à quoi ressemblerait la vie de vos proches dans le cas de votre décès comptez les dépenses à charge de votre foyer : loyer, impôts, scolarité des enfants, crédit et assurance crédit et en parallèle calculez la baisse de revenue liée à votre absence ou votre incapacité de travailler. Les dépenses resteront les mêmes…mais les revenus baisseront.
Parce que l’Etat ne verse qu’une part infime d’un capital :
Dans les grandes entreprises, les proches des salariés décédés bénéficient parfois d’un capital équivalent à plusieurs années de salaire grâce aux contrats de prévoyance professionnels et des rentes pour les enfants jusqu’à leur 21 ans.
Comme le décès ou l’incapacité n’arrive pas qu’aux autres, c’est pourquoi anticiper ce type de situation aussi difficile à évoquer soit-elle est importante.
L’épargne unique, même en mettant quelques centaines d’euros par mois de côté ne peut suffire à se créer un capital suffisant pour bénéficier de ressources financières durables, bien au-delà du règlement des funérailles.
En revanche, l’assurance décès se présente comme étant une bonne solution d’anticipation. Ce contrat d’assurance permet de délivrer une somme d’argent sous forme de capital (versement d’une seule traite) ou une rente (plusieurs versements) aux proches de la personne décédée ou en invalidité. Attention, il existe bel et bien des garanties pour couvrir le décès et d’autres pour couvrir l’invalidité.
3 questions à se poser au préalable :
Visez un montant qui permettra à vos proches de ses « retourner » financièrement, soit l’équivalent d’un an voire deux de salaire.
Plusieurs critères définissent le prix d’une assurance décès : âge du souscripteur, état de santé, caractéristiques propres à chaque assureur et niveau de capital choisi. Selon le site de L’express Votre argent, pour un versement de 100 000 euros, il faut compter environ 150 euros par an à l’âge de 30 ans, 300 à 40 ans, etc. Bien sûr, avec les années, ces cotisations augmentent selon des grille de tarifs propres à chaque assureur.
Dès la souscription du contrat d’assurance décès, il convient de choisir à qui reviendra le capital ou la rente, tout en ayant la possibilité de changer de bénéficiaires à tout moment. D’ailleurs pour simplifier les choses, pensez à prévenir vos proches désignés comme bénéficiaires.
Pensez enfin aux diverses exclusions de garanties, fixes ou selon les assureurs :
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