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Stéphane Jassurmalin retrouve son amie qui cherche toujours du travail. Il lui avait conseillé de ne pas rester sans couverture sociale, afin d’être couverte en cas de problème de santé.
Elle lui explique qu’en faisant sa demande de couverture sociale, on lui a dit qu’elle peut bénéficier de la CSS, fusion de la CMU-C et de l'ACS.
« En raison de ma situation précaire, j’ai droit à la complémentaire santé solidiare. Ils m'ont dit qu'il s'agissait d'une nouvelle aide. Elle remplace la couverture maladie universelle-complémentaire », explique l’amie de Stéphane. « Mais c'était quoi la CMU-C ? », demande-t-elle.
Sans revenu ni aucune ressource, certaines personnes pouvaient bénéficier d’une couverture de santé entièrement gratuite. La CMU-C s’apparentait à une assurance santé, proposant les garanties essentielles.
La CMU-C couvrait en effet les consultations avec le médecin traitant, l’hôpital, etc. sans aucune avance de frais.
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Tout le monde ne pouvait pas bénéficier d’une couverture de santé gratuite.
La CMU-C était accessible principalement sous conditions de ressources pour une période de 12 mois
Il faut résider en France de manière stable et régulière.
Les ressources se calculaient sur la composition du foyer du demandeur. Il fallait ajouter tous les revenus imposables de chacun des membres du foyer sur les 12 mois précédents la demande.
L’assurance Maladie intervenait dans un premier temps pour prendre en charge une partie des frais de santé. Une fois le régime obligatoire intervenu, il restait le ticket modérateur à la charge d’une personne non couverte par une complémentaire (Assurance santé ou CMU-C).
La CMU-C intervenait alors comme un complément de remboursements et prend en charge le ticket modérateur sans que l’assuré n’ait quelque chose à avancer.
« Désormais, et depuis le 1er novembre 2019, la CMU-C a été remplacée par la complémentaire santé solidaire (CSS). Il s’agit de la fusion de la CMU-C et de l’ACS », explique Stéphane.
Cette nouvelle aide doit permettre de lutter contre le renoncement aux soins. Entre 34 % et 45 % des personnes qui pouvaient bénéficier de la CMU-C n’en faisaient pas la demande.
« Mais concrètement, qu’est-ce que ça change ? », demande l’amie de Stéphane.
Pour les anciens bénéficiaires de la CMU-C, il n’y a aucun changement. La CSS reste gratuite et propose le même niveau de remboursement. Les plafonds restent également les mêmes, à savoir 745 €/mois pour une personne seule et 1 343 € pour un couple avec enfant.
Pour les assurés aux faibles revenus qui n’entrent pas dans les critères de la CSS mais qui ne peuvent pas non plus s’offrir une assurance santé traditionnelle, rien n’est encore perdu !
« Si je n’avais pas bénéficié de la CSS, j’aurai fait une comparaison d’assurance santé comme tu me l’as conseillé », dit-elle à Stéphane Jassurmalin !
« C’est vrai qu’en comparant les assurances, tu peux trouver des formules à prix vraiment compétitifs tout en adaptant les garanties à tes besoins ! », conclut Stéphane.