Les chats ne cessent de nous étonner ! Ils peuvent être poissonnier et déguisé comme le chat vietnamien Dog mais ils peuvent aussi être chers. Très chers même. Tel est le cas de l’Ashera qui est tout simplement le chat le plus cher du monde. Pour vous l’offrir, il faudra débourser jusqu’à 107 000 euros. Explications.
Vous êtes allergique aux chats mais souhaitez quand même avoir un félin dans votre vie ? La solution existe mais elle est particulièrement coûteuse…
L’entreprise américaine « Lifestyle Pets » a effectivement créé l’Ashera. Oui, vous lisez bien, cet animal est en fait une création d’entreprise. Plus précisément, cette nouvelle race résulte du croisement entre le serval, félin élancé que l’on trouve en Afrique, et un chat domestique tout ce qu’il y a de plus « classique ».
Hormis le fait qu’il ait été créé par une entreprise, l’autre caractéristique de l’Ashera est sa nature hypoallergénique. En effet, grâce à des modifications génétiques, les réactions allergiques qui concernent approximativement 10 % de la population se trouvent neutralisées.
Grâce à Assurland.com, comparez gratuitement vos assurances personnelles en quelques minutes pour être protégé au meilleur prix !
Créé en 2007, l’Ashera, marque déposée par « Lifestyle Pets », n’est pas seulement modifié génétiquement et hypoallergénique, il est aussi l’un des chats les plus rares qui soient. En effet, depuis sa création il y a une dizaine d’années, seulement une cinquantaine d’individus ont été conçus.
En ce qui concerne ses autres caractéristiques, l’Ashera serait à la fois affectueux, loyal, communicatif et doué d’intelligence, pèse une dizaine de kilos et peut mesurer jusqu’à 1 mètre 20 de longueur. Sur catalogue, il coûte 27 950 dollars (environ 24 000 euros) mais il a déjà été vendu à 125 000 dollars (environ 107 000 euros).
A noter que cette initiative de l’entreprise Lifestyle Pets a suscité de nombreuses critiques de la part d’associations de protection des animaux. De plus, l’Ashera a fait l’objet de nombreuses contrefaçons et suscité le mécontentement de clients qui ont quand même développé des allergies à cause d’une mutation naturelle d’un gène.