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Pour un usager, outre le vol, l'un des motifs les plus récurrents face à l'usage du vélo est la pluie. En effet, difficile de se protéger et de ne pas arrivé trempé jusqu'aux os lorsqu'on se trouve les deux mains sur le guidon et qu'il se met à pleuvoir ! Mais dans une étude publiée fin novembre, Météo France a voulu contredire cet argument. « Pour les cyclistes du quotidien, rouler sous la pluie n'est pas si fréquent. Il est rare d'arriver mouillé à destination », estime l'organisme météorologique.
Selon Météo France, le résultat est on ne peut plus clair : il est rare que les cyclistes du quotidien se retrouvent mouillés au travail. Évidemment, on constate des disparités entre les région : il pleut plus en Bretagne que dans le Sud ! Selon les villes, le nombre de trajets sous la pluie est donc de :
En outre, les précipitations sont réduites pendant la majorité de l'année. Les mois les plus pluvieux se trouvent entre novembre et mars, tandis que le reste de l'année accuse d'un temps plutôt clément. Encore une fois, ces données sont variables selon l'emplacement géographique.
Mais pour Météo France, la pluie n'est pas une excuse. « Il ne pleut pas moins à Copenhague, Berlin ou Amsterdam qu’à Paris, Toulouse ou Lyon. Une fois l’usage du vélo acquis comme une habitude du quotidien, les aléas climatiques du cycliste entrent dans la normalité et il n’est pas plus problématique pour un cycliste de sortir sa cape de pluie un après-midi de printemps que pour un automobiliste de gratter le givre de son pare-brise un matin d’hiver », conclue l'organisme de météorologie.
Comment l'organisme météorologique a-t-il mené son étude ? Météo France a tout d'abord constitué un profil type, celui du « vélotaffeur » (c'est-à-dire le profil de l'usager se rendant sur son lieu de travail à vélo) :
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