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Briare : on lui refuse le versement d'une assurance vie dont elle est bénéficiaire

31 mai 2014 L'équipe d'Assurland.com 3626 vues

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Les faits se passent donc à Briare. C’est l’histoire de Bernadette Evezard dont la mère a souscrit un contrat d’assurance vie en 1992. N’ayant découvert son existence que plus de 20 ans plus tard, elle a la désagréable surprise de se voir refuser le paiement de son dû.

Une découverte tardive

Bernadette Evezard découvre tardivement (en 2013) l’assurance vie que sa mère, Hélène, à contracté au mois d’octobre 1992. La souscription a été faite auprès de la Banque Populaire, avec un dépôt de 60 000 francs, ce qui correspond à un peu plus de 9 000 euros.

Bernadette Evezard entre tout de suite en contact avec cet établissement bancaire. Etant donné le délai qui s’est écoulé, elle n’a pas reçu de réponse satisfaisante. Elle continue d’appeler mais rien n’évolue.

Elle contacte alors le service succession à Paris. En plus des appels téléphoniques, elle voie également des lettres recommandées. Déterminée, elle finit par recevoir une réponse qui l’informe que le « capital décès » a été versé via un chèque le 1er septembre 1993 dont le montant était de 9 296,04 euros. Ce qui n’a pas été du tout le cas.

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Une situation « insensée »

Bernadette Evezard entre dès lors en contact avec Jérôme Brugère, qui a fondé l’AIDAB ou association d'information et de défense des assurés et des bénéficiaires. Celui-ci ne manque pas de relever quelques irrégularités. D’abord, il n’est pas question de « capital décès ». Ensuite, le règlement est sensé s’être fait en euros alors qu’en 1993, il était encore question de francs. Il n’y a néanmoins pas eu de paiement. D’ailleurs, Bernadette Evezard, qui n’était pas au courant de l’assurance vie, n’a donc pas envoyé le certificat de décès de sa mère à la Banque Populaire… De l’avis de Jérôme Brugère, il s’agit d’une stratégie pour ne pas avoir à payer.

De son côté, la Banque Populaire s’est exprimée : la bonne foi de Bernadette Evezard n’est pas mise en doute mais il n’est pas aisé de mettre la main sur des vieux dossiers. Une réponse pourra alors lui être communiquée dans les plus brefs délais.

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