ASSURANCE AUTO Comparez gratuitement
En assurance auto, les jeunes conducteurs font partie des assurés les plus pénalisés. Les assureurs considèrent en effet qu’en tant que débutants, ils représentent un risque supérieur. C’est pourquoi ils se voient appliquer une surprime. Toutefois, la comparaison en ligne, et quelques astuces, comme le choix de votre premier véhicule ou l’option du conducteur secondaire, peuvent vous permettre de passer vos premières années au volant sans vous ruiner. Voici nos conseils.
Un jeune conducteur est, d’après le code de la route, une personne titulaire de son permis de conduire depuis moins de trois ans, quel que soit son âge. Il est à ce titre assujetti à des limitations (de vitesse, notamment : 110 km/h sur l’autoroute et non 130 km/h) et à des obligations particulières (comme celle d’afficher son « A »).
Pour les assureurs, cette définition peut être un peu plus large : sont également des jeunes conducteurs à leurs yeux les personnes souscrivant une première assurance auto à leur nom, ou qui n’ont pas conduit durant plusieurs années.
Ces nouveaux assurés ont en commun d’avoir peu d’expérience, ou un souvenir lointain du maniement du volant. Ils représentent donc un risque de sinistre plus élevé pour les assureurs. Ces derniers proposent donc aux jeunes conducteurs et apprentis des polices auto « classiques », mais auxquelles ils ajoutent une prime supplémentaire, par crainte des accidents.
Cette « surtaxe » représente un véritable budget pour un pilote novice : la majoration peut effectivement atteindre jusqu’à 100% du prix « classique » d’une assurance auto. En la matière, les titulaires d’un permis obtenu suite à la conduite accompagnée (aussi appelée « formation anticipée ») sont gagnants : on considère qu’ils ont déjà davantage d’heures de conduite au compteur, et une majoration plus faible est donc appliquée. En revanche, malgré un coût globalement plus élevé, les formules jeune conducteur comprennent les mêmes garanties que celles proposées aux pilotes confirmés.
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Même en tant que jeune conducteur, vous pouvez bénéficier d’une protection qui répond à vos besoins et à vos habitudes de conduite.
La plupart des apprentis souscrivent généralement une assurance auto au tiers (ou « responsabilité civile »). C’est la couverture minimale imposée par la loi, et donc aussi la moins chère : elle vous permet seulement d’être couvert en cas de dommages corporels ou matériels infligés à une tierce personne. Aux niveaux supérieurs, on trouve la formule intermédiaire, qui est une assurance au tiers cumulée avec quelques options supplémentaires (garantie contre le vol, l’incendie, ou le bris de glace), et enfin l’assurance tous risques qui va vous indemniser pour la plupart des sinistres.
On peut également citer une possibilité qui peut s’avérer intéressante pour les novices : l’assurance auto au kilomètre. Avec elle, vous ne payez que pour les distances que vous parcourez ! Une telle offre peut donc être adaptée aux apprentis qui vont peu rouler dans un premier temps. Enfin, sachez que si vous devenez le ou la propriétaire d’une voiture avant de réussir l’examen pratique, vous devrez impérativement l’assurer.
Formules | Protection | Tarif médian annuel |
Au tiers | Responsabilité civile : indemnise les dommages causés à un tiers | 250 euros |
Intermédiaire | Responsabilité civile avec options supplémentaires au choix : vol, bris de glace, incendie... | 450 euros |
Tous risques | Couverture maximale face à tous les aléas : assistance panne, dépannage 0 km... | 650 euros |
Au kilomètre | Au choix : au tiers, intermédiaire ou tous risques | Dépend du nombre de kilomètres parcourus |
Propositions tarifaires trouvées Assurland.com en février 2021 avec une Peugeot 208 de 2015, dans la banlieue proche de Besançon. Les primes peuvent varier en fonction de nombreux critères : localisation de la voiture la nuit, zone géographique, profil... N’hésitez pas à comparer en ligne pour trouver découvrir les tarifs qui vous sont proposés.
Aujourd’hui, la grande majorité des compagnies proposent des contrats aux jeunes conducteurs (toutefois, certaines continuent de les exclure systématiquement). Il n’existe pas à proprement parler de « spécialistes » pour ce type d’assurés.
Au contraire, les compagnies tentent de fidéliser tôt des clients qu’elles pourront garder ensuite durant tout leur parcours d’automobiliste. Vous avez donc le choix ! Ce qui vous donne la possibilité de comparer en ligne pour trouver l’offre la plus douce et les couvertures qui vous correspondent.
Pour trouver une assurance voiture jeune conducteur, le plus simple est de comparer gratuitement sur Assurland. Selon votre profil, vous pourrez choisir parmi un panel de différentes couvertures. Quand vous serez face au comparatif, plusieurs critères doivent retenir votre attention :
Par exemple, prenons une garantie présente dans de nombreuses offres : le bris de glace. Elle vous permet d’être indemnisé du montant des réparations d’une vitre. Un assureur 1 peut vous couvrir à hauteur de 200 euros pour ce dégât (si le montant des repartions dépasse ce montant, vous ne serez couvert qu’à cette hauteur), et un assureur 2 jusqu’à 300 euros.
Mais l’assureur 2 peut vous appliquer une franchise de 100 euros (cette somme restera à votre charge une fois l’indemnisation versée), dans ce cas, pour un sinistre bris de glace de 300 euros, vous serez remboursé de 300 euros, mais vous devrez engager 100 euros de votre poche. Dans cette opération, vous ne « gagnerez » donc que 300 - 100 = 200 euros. Le plafond de l’assureur 2 a beau être plus élevé, vous serez donc couvert à la hauteur de ce que propose l’assureur 1.
Avec tous ces détails bien en tête, vous serez à même de choisir la police qui correspond le mieux à votre budget et à vos besoins sans vous faire « piéger ». Il existe ensuite des astuces pour faire baisser la facture finale.
Comme expliqué plus haut, la comparaison en ligne vous offre un réel avantage : celui de pouvoir classer les différentes offres de la moins chère à la plus chère. Vous pourrez ensuite sélectionner, si vous le souhaitez, les plus économiques, en étant attentif aux garanties proposées, mais, surtout, à leurs plafonds et franchises. Vous pouvez généralement vous tourner vers des formules plus « allégées » si votre automobile a déjà un certain âge, ou si son stationnement est sécurisé.
Au-delà de la couverture et des options choisies, le choix de votre premier véhicule va aussi faire baisser ou augmenter la note. En règle générale, moins la voiture a de valeur, plus il vous sera proposé des tarifs bas. A l’inverse, votre cotisation augmente si vous choisissez un bolide neuf, car le coût des réparations sera plus élevé. Pour dénicher une assurance auto jeune conducteur pas cher, opter pour un modèle d’occasion est donc souvent judicieux.
Comme signifié précédemment, le prix d’une assurance auto jeune conducteur va dépendre de plusieurs critères.
Il existe quelques astuces pour faire baisser son montant, ou tout du moins son impact sur votre cotisation globale. Tout d’abord, avec la comparaison d’assurances, vous pouvez comparer et choisir parmi les offres qui appliquent la moins élevée.
En règle générale, le relèvement tarifaire s’applique comme suit selon le nombre d’années de permis au compteur, et si vous avez ou non eu recours à la conduite accompagnée :
Taux appliqué sans la conduite accompagnée | Taux appliqué avec la conduite accompagnée | |
Majoration maximum à la souscription | +100% sur le coût initial (la cotisation d’assurance est doublée par rapport à celle d’un conducteur confirmé) | 50% |
Majoration maximum après un an sans accident | +50% sur le coût initial (la moitié de la cotisation proposée à un conducteur confirmé est ajoutée à la vôtre) | 25% |
Majoration maximum après deux ans sans accident | 0% | 0% |
Source : Fédération française de l'assurance (FFA).
Comme le montre ce tableau récapitulatif, passer par la formation anticipée peut permettre de limiter de moitié la « taxe apprenti » : une assurance proposée 1 000 euros/an à un automobiliste confirmé sera vendue 2 000 euros/an à un jeune conducteur sortant d’un forfait d’heures de conduite classique. Le tarif ne s’élèvera qu’à 1 500 euros pour un apprenti venant d’obtenir le permis en formation anticipée.
Une deuxième solution pour réduire la charge de la surprime est le choix de votre formule. En l’occurrence, comme vous le voyez, plus la cotisation de base est faible, moins la majoration se fera sentir sur la note globale. Si vous choisissez une protection au tiers à 500 euros/an, même avec une surprime de 100% la 1ère année, vous arriverez à 500+500 = 1 000 euros annuels (environ 83 euros par mois).
L’assurance auto au kilomètre peut également être une solution si vous roulez peu. Elle se décline en deux possibilités : vous estimez à l’avance le nombre de kms que vous allez parcourir, et vous ne payerez donc que ce forfait kilométrique à condition de ne pas le dépasser. Ou, vous décidez de payer au kilomètre près à l’aide d’un boîtier connecté placé sous votre capot et chargé de les décompter. Les mois où vous ne roulez pas du tout, vous aurez seulement à charge une cotisation résiduelle fixée à la signature, aussi appelé « forfait de base » (généralement d’une vingtaine d’euros).
N’oubliez pas non plus que le choix de votre véhicule va également avoir une forte influence ! Privilégier un modèle peu onéreux et d’occasion pour faire des économies
Enfin, il existe une troisième solution pour diminuer le poids de cette « surtaxe » appliquée aux novices : celle d’être déclaré conducteur secondaire pendant quelques temps. Vous pouvez, en effet, en tant qu’apprenti être ajouté au contrat d’un proche (parents, concubin ou concubine...) et être couvert.
Il faut toutefois que votre conduite demeure, dans ce cas, occasionnelle, par exemple le week-end, ou en relais du conducteur principal lors d’un long trajet, ou encore pour un besoin précis. Dans ce cas de figure, la cotisation reste à la charge de l’assuré principal, mais vous allez de votre côté également gagner en confiance grâce à cette conduite à temps partiel. Vous pourrez faire valoir par la suite cette « formation continue » à votre assureur quand vous voudrez souscrire votre propre contrat : votre majoration sera alors réduite.
L’application de la « taxe jeune conducteur » est réglementée par l’article Article A121-1-1 du Code des assurances. La loi confirme qu’elle ne peut dépasser une majoration de 100% :
« Cette surprime ne peut dépasser 100 % de la prime de référence. Ce plafond est réduit à 50 % pour les conducteurs novices ayant obtenu leur permis de conduire dans les conditions visées à l'article R. 123-3 du code de la route.
Elle est réduite de la moitié de son taux initial après chaque année consécutive ou non, sans sinistre engageant la responsabilité. »
Obtenir des devis gratuits d’assurance auto jeune conducteur n’a jamais été aussi simple. A l’aide de notre comparateur gratuit, vous obtiendrez des simulations de différentes formules. Vous pouvez ensuite retenir les offres qui vous intéressent, et demander un devis gratuitement aux compagnies sélectionnées. Elles vous transmettront ce devis par courrier ou par mail, et il vous reviendra de l’accepter ou non.
Comme vu plus haut, se déclarer en tant qu’utilisateur secondaire d’une auto peut permettre à un aspirant pilote d’acquérir de l’expérience et du bonus. Il s’agit d’une solution intéressante si vous prévoyez de rouler peu, et si vous acceptez de ne pas choisir dans un premier temps votre propre couverture.
S’il s’avère que vous conduisez autant voire plus que le conducteur principal déclaré, vous vous exposez à plusieurs risques :
Si vous prévoyez d’être le conducteur habituel, mieux vaut donc signer son propre contrat.
Le système du bonus malus s’applique bien également aux jeunes conducteurs et aux novices. Aussi appelé Coefficient de réduction/majoration (CRM), il vous attribue une note positive ou négative en fonction de votre comportement au volant. Ce bonus malus est calculé tous les ans : sans accident responsable vous obtenez par exemple le bonus maximum, sous forme d’un coefficient qui réduira le montant de ce que vous devez. A l’inverse, un CRM « négatif » va encore faire grimper votre cotisation.
Pour les automobilistes débutants, ce système de bonus malus s’ajoute à la surprime. Cette dernière est amenée en principe à baisser tous les ans à mesure que vous gagnez en confiance, mais si votre conduite génère du malus, votre cotisation ne diminuera pas, voire pourra augmenter.
Si vous êtes assuré en tant que conducteur secondaire, l’assureur pourra décider de prendre en compte vos antécédents, et vous faire bénéficier d’un bonus au moment de souscrire votre propre contrat.
Pour la majorité des compagnies, une automobile est considérée comme « puissante » quand sa motorisation dépasse les 6 chevaux fiscaux. On trouve dans cette liste la plupart des berlines allemandes (BMW Série 1, Audi A3) mais aussi des françaises en version « sportive » (Peugeot 208 GTI, Clio RS...).
C’est le rêve de nombre de pilotes en herbe : s’offrir un véhicule sportif en tant que première voiture ! Hélas, ce désir se voit vite réfréné par les compagnies d’assurance. De leur point de vue, ce type de cylindrées représentent en effet un risque supplémentaire : elles sont surreprésentées dans les accidents (en raison notamment de leur puissance) et dans la liste des véhicules les plus volés.
En raison de ce risque supérieur, les cotisations atteignent souvent une prime prohibitive pour des jeunes conducteurs. Les astuces suivantes peuvent toutefois vous permettre d’assurer une voiture de plus de 6 CV fiscaux si vous vous montrez patients et à l’affut :
D’après le code de la route, le statut d’apprenti se perd après trois ans de conduite. Pas question donc de retirer votre « A » avant cette échéance. Pour rappel, conduire sans ce signe distinctif est interdit : vous vous exposez à une amende forfaitaire de 35 euros, minorée à 22 euros si le paiement est effectué sous trois jours.
Le « A » rouge signifie « Apprenti ». Cela, vous le saviez. Mais saviez-vous qu’il n’est apparu sur les carrosseries qu’en 1994 ? En parlant de carrosserie, où devez-vous placer votre signe distinctif ? Sous la lunette arrière, de préférence à gauche. Il doit mesurer 15 centimètres, et les vignette « faites maison » sont interdites.
Les apprentis du volant sont soumis à des obligations particulières durant trois ans (ou deux ans, s’ils sont passé par la conduite accompagnée) : leur vitesse est notamment limitée selon les voies empruntées :
Type de voie | Permis définitif | Permis probatoire | Par temps de pluie (pour tous) |
Autoroutes | 130 km/h | 110 km/h | 110 km/h |
Routes à 2 chaussées séparées par un terre-plein central | 110 km/h | 100 km/h | 100 km/h |
Routes à double sens sans séparateur central | 80 km/h | 80 km/h | 80 km/h |
Autres voies | 90 km/h | 80 km/h | 80 km/h |
En agglomération | 50 km/h | 50 km/h | 50 km/h |
Source : www.legipermis.com
La possibilité de louer un véhicule dépend des conditions imposées par la compagnie à laquelle vous vous adressez. Mais, généralement, il n’est pas possible de louer une voiture avant un, voire deux ans de permis, quand ce n’est pas une limite d’âge qui est appliquée. Le loueur tente lui aussi de réduire ainsi son risque d’accidents.
Le choix de votre première voiture va avoir une forte influence sur le montant de votre assurance auto. Pour le réduire au maximum, nous vous conseillons de privilégier les modèles d’occasions en priorité (mais en évitant un kilométrage démesuré, qui fera craindre aux assureurs des réparations à n’en plus finir). En occasion comme en neuf, il faut privilégier les petites citadines vendues neuves entre 12 000 et 15 000 euros, et avec une puissance inférieure à 6 chevaux fiscaux.
Modèle | Prix neuf* (à partir de) | Prix d’occasion moyen en ligne** |
Citroën C1 | 11 350 € | 7 700 € |
Peugeot 108 | 11 800 € | 10 400 € |
Renault Twingo III | 12 350 € | 10 500 € |
Renault Clio V | 15 300 € | 14 500 € |
Toyota Aygo | 11 790 € | 8 400 € |
Kia Picanto | 11 790 € | 8 700 € |
*Sources : sites des constructeurs
**Sources : www.occasion-largus.fr
La voiture idéale d’un novice sera sûrement de seconde main ! Vous pouvez faire confiance aux réseaux de distributeurs de votre constructeur préféré, ou consulter les tarifs proposés par des sites désormais reconnus : Aramisauto, l’Argus, Lacentrale, Le Bon Coin...
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