Les bonbons acidulés cartonnent dans les cours de récré et pas que. Symbole de transgression, ces sucreries qui piquent n’apportent rien de bon pour la santé au contraire, elles augmentent fortement le taux de sucre des petits comme des grands.
Les bonbons acides sont présents en nombre dans les rayons des magasins et les marques fourmillent d’idées de noms pour attirer les jeunes (Very Bad Kids, Têtes brulées, etc.). Si la cigarette peut aider certains adolescents à se rendre plus viril qu’ils ne le sont, pour les plus petits c’est un peu la même histoire avec les bonbons qui piquent. Il y a un certain « challenge » à manger ces confiseries voire même un symbole de « transgression » envers les parents comme les professeurs selon les termes de la sociologue Aurélie Maurice.
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Sans détailler les conséquences des produits chimiques qui font cet effet piquant, ces gourmandises sont tellement riches en glucides qu’il suffit d’en manger trois pour atteindre la quantité maximale recommandée par l’OMS. En effet, ce n’est pas du sucre de bonne qualité qui compose ces produits mais du sirop de glucose qui coûte moins cher à la fabrication.
Le mauvais côté de cette matière c’est son taux glycémique très élevé. Sur le long terme et suivant une consommation régulière, cela peut être une source de surpoids, d’obésité ou de caries qui coûtent cher en soins dentaires surtout lorsqu’on les allie à la consommation de sodas par exemple.
Manger également plusieurs de ces bonbons à la suite peut créer une hypoglycémie réactionnelle, à savoir un malaise comme un coup de fatigue... Vous êtes prévenus !
via sciencesetavenir.fr