Malgré la baisse des loyers dans les grandes agglomérations, les disparités restent fortes entre les principales villes étudiantes. Pour les futurs étudiants qui n'ont pas les moyens financiers de louer un logement, il existe heureusement des solutions alternatives. Et pour faire encore davantage d'économies, le passage par un comparateur d'assurances habitation peut aussi être utile.
Les résultats de Parcoursup ont été récemment révélés à des milliers d’élèves de terminale. Pour les futurs étudiants, c’est un autre parcours du combattant qui commence : trouver un logement à un loyer raisonnable dans la ville de leur formation.
Et c’est ainsi une grande loterie qui débute pour le budget des étudiants, les prix peuvent en effet osciller du simple au double selon l’endroit. C’est ce que révèle un baromètre publié par le site SeLoger et le quotidien Le Parisien.
En moyenne, toutes villes françaises comprises, le coût mensuel d’un studio est de 480 euros. Mais ce loyer peut facilement être doublé, en particulier en région parisienne. Le baromètre estime le loyer moyen d’un studio parisien à 826 euros, et la proche banlieue n’est pas épargnée : 714 euros à Nanterre, 677 euros à Versailles, ou encore 672 euros à Créteil.
Dans le reste de l’Hexagone, les locations les plus onéreuses se trouvent à Nice (570 euros), à Aix-en-Provence (552 euros), à Lyon (528 euros), ainsi qu’à Bordeaux : 513 euros. À l’inverse, il revient beaucoup moins cher de louer un studio à Dijon (401 euros), Tours (399 euros), Nancy (388 euros), Clermont-Ferrand (370 euros), et surtout à Poitiers (352 euros).
Toutefois, malgré des prix moyens plus élevés dans les grandes villes, il est possible de faire des économies à l’approche de cette rentrée universitaire. Les loyers baissent en effet depuis quelques mois, y compris à Paris.
La désertion des touristes depuis le début de la crise sanitaire a remis sur le marché de la location longue durée « classique » de nombreux logements jusqu’ici loués exclusivement ou presque sur Airbnb.
À tel point que l’on constate un déséquilibre dans les grandes agglomérations, avec une forte hausse de l’offre et une moindre demande (étudiants rentrés chez leurs parents, annulation de nombreux stages et de projets de mobilité professionnelle…), ce qui fait mécaniquement baisser les prix.
Jusqu’à la rentrée universitaire, il devrait donc être possible de profiter de conditions de location avantageuses y compris dans les grandes villes. Mais pour les futurs étudiants qui ne peuvent se permettre financièrement de louer un bien, il existe des solutions alternatives.
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